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Depuis 2012, l'objectif de l'association est de mettre en exergue les jeunes du quartier Soula 2 et la Guyane à travers diverses activités carnavalesques (groupe de musique de rue) artistiques (création de costumes) mais aussi à travers des sorties instructives, récréatives. |
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Créée en 2005, l'association présente et pérennise la culture brésilienne ; organise des manifestations à caractère culturel et sportif, confectionne des costumes traditionnels, développe des échanges socio-éducatifs entre le Brésil, la Guyane, les Antilles et la France ; accompagne, dans leurs démarches administratives, des résidents brésiliens, facilite leur intégration et assure la défense de leurs intérêts ; crée une école de danses brésiliennes, met en place une troupe de danseuses afin de les présenter lors de manifestations publiques ou privées. |
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Créé en 1990 à Kourou, et dont la formule révolutionnaire de cotisation permet à chaque adhérent d’avoir un costume tout prêt pour le défilé du dimanche. |
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Le groupe de capoeira Energia Pura a été fondé le 25 août 2003 à Récife (Brésil) par le Professor Gato Preto. |
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Fa kiao signifie « chinois d´Outre-mer ». Arrivée il y a plus d’un siècle en Guyane, la population chinoise fait partie intégrante du paysage socio-économique guyanais. La communauté chinoise est très attachée à ses origines. Ainsi l’influente association Fa Kiao, créée en 1957, s´applique à faire perdurer la culture et les traditions chinoises en proposant des cours de mandarin aux enfants qui n´ont pas la possibilité d´apprendre leur langue maternelle du fait qu´ils sont nés et vivent en Guyane, mais aussi des cours de danses traditionnelles et des activités sportives. |
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Créée en 2012, le but de l'association est de développer, de promouvoir la richesse culturelle brésilienne et de contribuer aux échanges transfrontaliers de la Guyane française ; de lutter contre l’illétrisme, d’aider aux démarches administratives, d'apporter un soutien scolaire auprès des jeunes ; de développer la valeur du sport, de la santé et du bien-être par des manifestations autour du sport de loisirs et de détentes, de promouvoir la solidarité sous toutes ses formes notamment en développant des activités de prévention, de formation et d’animation à caractère culturel sportif et social en direction des jeunes et de la famille. |
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Née de l’initiative d’un groupe d’amis dont la première sortie carnavalesque remonte au mois de janvier 1994. Le nom vient de « I ja ka ta » « il se fait tard ». L’association a pour vocation de promouvoir la culture guadeloupéenne en Guyane par l’organisation ou la participation à des manifestations culturelles et sportives, par une présence forte durant la période carnavalesque. |
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Déclarée en 2014, l'objectif de l'association est de promouvoir le carnaval à travers la jeunesse à l’aide d’actions culturelles. |
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Cette association a pour objet de promouvoir la culture et le carnaval guyanais, à travers le spectacle vivant et toute autre activité se rapportant à la culture guyanaise et cela à but non lucratif. Depuis décembre 2016 elle prend le nom ERUPTION. |
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Composé essentiellement de jeunes (dont la moyenne d’âge maximum est de 25 ans) et de percussionnistes du quartier « Cité Zéphir ». Créé en 1992, il participe au festival de Cuba en 1994 et remporte cette même année le premier prix de la grande parade. |
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Ce groupe, du même quartier que Réno Ban’n, a été créé quatre ans plus tard, en 1994. Il se compose d’une cinquantaine de musiciens et d’une vingtaine de membres du bureau, avec une moyenne d’âge, comme souvent pour les groupes de quartier, peu élevée, d’environ 26 ans. |
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Créé en 2017, le groupe développe et transmet la culture de la musique traditionnelle de la Guadeloupe, de la Martinique, de la Guyane en priorité mais aussi de tout autre pays de la caraïbe. |
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L'association a pour but de promouvoir le carnaval guyanais dans la tradition populaire et organiser des activités à caractère culturel. Elle a été créée en 1991 pour poursuivre une aventure humaine et participer à l'évolution du carnaval guyanais. |
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Nom d'un outil traditionnel confectionné en vannerie pour égoutter le manioc, créé en 1981, le groupe remporta trois fois le premier prix de la grande parade du Dimanche Gras (le dernier, en 2001). Le groupe a joué les ambassadeurs du carnaval guyanais à Paris en 1991, puis aux Antilles. Robert Sébas, président et fondateur progressiste, dira de son groupe : « Je me démarque par rapport à la tradition. Manaré a pour vocation de donner envie aux gens de se déguiser. Dire qu’à côté de la tradition on peut créer autre chose, donner une impulsion au carnaval. » |
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Créée en 2010, l’association Mayouri Tcho Nèg a pour objectif d’entretenir la culture carnavalesque en participant aux défilés et en organisant des manifestations, sorties culturelles et soirées traditionnelles. |
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Créée en 2002, l’association a pour objectif la création et l'organisation de manifestations culturelles et carnavalesques, sorties découvertes et randonnées pédestres, ateliers d'apprentissages et de création, organisation de manifestations sportives. |
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Fondé en 2000, Natural Tribal a pour but de promouvoir et d'encourager la créativité, essentiellement basée sur l’utilisation de matériaux naturels et de récupération, de faire découvrir la beauté de l’art primitif océanien, africain et amérindien et la richesse de la nature amazonienne à travers la confection de costumes, maquillages et accessoires divers inspirés de ces peuples. |
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Le « nèg maron » est tout à la fois un personnage mythique et historique. Alors que l'esclavage sévissait en Guyane, certains des esclaves se sont enfuis, ont « marronné ». Ils ont dans le carnaval une place tout à fait spéciale. Encadrés par leur capitaine José Blézès, à eux de dégager le passage pour laisser passer les groupes carnavalesques. |
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Ce groupe est composé de Métropolitains vivant dans le département amazonien et décidé à participer aux défilés de Cayenne. Créé en 1991 avec le financement des œuvres sociales de l’ORSTOM 48 (Office de la Recherche et Technique Outre-Mer rebaptisé Institut de Recherche pour le Développement en 1999), le groupe peut présenter lors de la grande parade pas moins de deux cents membres. Les costumes traditionnels guyanais et les chants antillo-guyanais que présentent régulièrement le groupe sont le fruit de sa volonté effective de s’intégrer sans distinction ostensible dans les défilés cayennais. |
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La communauté brésilienne, l’une des plus importantes en Guyane, est largement représentée dans les cortèges carnavalesques dominicaux. Créée en avril 2003, l'association Patawa a pour but de promouvoir et d'encourager la création artistique et culturelle, de favoriser la diffusion de spectacles et d'organiser des échanges, d'initier toutes formes d'expressions culturelles et artistiques. |
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C'est un groupe de quartier, de la « Cité Médan », fondé en 1998 et, comme dans la plupart des groupes de quartier, la moyenne d’âge est très basse, environ 20 ans. Ce groupe est une association exclusivement carnavalesque et qui fonctionne d’octobre, date des premières réunions et des premières répétitions musicales (deux fois par semaine) à la fin des festivités carnavalesques. « On essaye de se distinguer en tenant compte de tout ce qui a marqué l’actualité. Cette année nous misons sur la magie, la féerie. Le carnaval est court, il est difficile d’avoir des sponsors, nos membres sont jeunes avec peu de moyen. Maintenant le carnaval est très commercial, on est obligé de suivre l’évolution pour être dans le bain. », déclare le président Thierry Terriat. |
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L'association « Mouvman Kiltirel Pitit a Nèg » oeuvre, depuis 2006, toute l'année à travers le carnaval et différentes manifestations. |
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Fondé en 1972, la renommée de ce groupe n’est plus à faire, vainqueur du premier prix de la grande parade de 2000, et dont le siège de l’association est situé dans une cité, la cité Thémire. Dolore Boromée, la présidente et fondatrice du groupe, dit à propos du nom du groupe : « C’est un animal qui a beaucoup de piquants et quand, paraît-il, il voit l’être humain, il dresse tous ses piquants. C’est comme nous quand on se présente dans les rues de Cayenne, on met nos beaux costumes dehors pour « piquer » les yeux des admirateurs ». |
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De Saint-Laurent du Maroni. |
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Datant de 1990, ce groupe porte le nom contracté du quartier, « La Rénovation Urbaine », lieu de résidence des trente membres. C’est un groupe jeune puisque la moyenne d’âge est de 24 ans. C’est également un groupe considéré comme un « groupe de quartier », issu effectivement d’un quartier défavorisé qui est le premier à avoir remporté le premier prix de la grande parade. |
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Promouvoir la culture Brésilienne, depuis 2016, à travers différentes activités comme la danse, la musique, le chant, l’art culinaire, l’artisanat et d’une manière générale tous les aspects artistiques Brésiliens; organiser tous spectacles, expositions ou autre rencontres en rapport avec l’objet de l’association, gérer et produire une troupe de danse. |
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Créé en 1986, issu de PORCS-EPICS. |
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Le groupe SILIKO fut créé en 2000. Sa maxime de fonctionnement est : « Vient qui peut, quand il veut, comme il peut ». Chaque année, l'ensemble des participants définit un thème conducteur pour la durée du Carnaval. |
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Créée en 1996, l'association favorise le rapprochement entre les deux peuples riverains du fleuve Oyapock ; organise des évènements culturels, des échanges, des rencontres. |
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Association carnavalesque créée en 1996, le groupe défile principalement dans les rues de Kourou et s'est rendue célèbre pour les nombreux titres qu'elle a déjà remporté pour la parade du littoral. |
